Mes anecdotes de voyage -

Que seraient nos voyages sans de croustillantes anecdotes, où fous-rires et peurs se mélangent à nos souvenirs de vacances ?

Je suis sûr que je ne suis pas la seule où il arrive toujours une péripétie pendant les voyages pas vrai ? A travers cet article je vais vous raconter mes petites anecdotes de voyages, je vous assure je ne suis pas prête de les oublier ahah

ANECDOTE 1 :  Le comble pour une addict' de voyage

Quel est le comble pour une voyageuse comme moi où la partie la plus désagréable pour moi est : l’avion ! Ouais l’avion, le décolage ça peut aller car je suis hyper excitée à l’idée de partir mais la partie la moindre drôle est celle où l’avion commence à monter dans les airs petits à petits. Et pourquoi ? Car j’ai un mal monstre aux oreilles pendant toute la durée du vol et cela pendant encore quelques jours après l’arrivée.

ANECDOTE 2 : Une tête de crackheads ?

C’était lors de notre premier voyage en amoureux à Lisbonne, nous nous baladions tranquillement dans les ruelles du centre-ville de Lisbonne, puis au fur et à mesure de la journée des vendeurs de selfies, de lunettes de soleil mais aussi des vendeurs de cokes, haschich et ouais ! Impossible de les manquer , je ne compte même pas le nombres de fois où l’on nous en a proposé. Il faut dire que Thibault, mon compagnon, s’habille souvent en survêtement lors nos voyages ahah, quelle idée ! C’était assez surprenant et anodin pour nous !

Anecdote 3 : Se faire piéger par des taxis clandestins en Croatie

Lors de notre voyage en Croatie, nous arrivions tard dans la nuit, à l’aéroport de Zadar. A cette heure-ci nous n’avions plus de bus pour se rendre dans le centre-ville, ni de voitures de locations. Nous avons donc pris la solution des taxis. Nous nous sommes avancés vers le groupe de taxis et il fallait que l’on tombe sur la voiture piège !! Nous montions dans la voiture près à partir direction l’hôtel. Une fois avoir mis nos bagages dans le coffre nous voilà partis, puis plus la route passait plus nous nous écartions de la ville. Nous lui demandons alors si il se dirigeait bien vers l’hôtel, le conducteur nous avait dit qu’il fallait qu’il change de véhicule car il devait le rendre à son soi-disant collègue, nous avons ensuite emprunté un chemin désert, puis nous arrivons dans un village perdu excentré de la ville. Nous commencions à paniquer…

Celui-ci nous dit de monter dans une autre voiture, quand nous avons vu l’état de la voiture j’ai cru qu’on allait être pris en otage ! Pas de ceinture, la carrosserie en mauvais état, et le pompon : la voiture ne démarrait pas, le mec était obliger de pousser sa voiture pour la faire redémarrer, le voyage commençait mal.

Après avoir réussi à démarrer sa vieille voiture nous voilà enfin parti en direction de l’hôtel souhaité ! Évidemment à la fin de la course, nous avons réussi à faire baisser le prix en vue de la circonstance, je peux vous dire qu’on était bien comptant de rentrer dans l’hôtel. Nous avions compris par la suite, grâce au maître d’hotel, que le taxi était en réalité un taxi clandestin, c’est apparemment assez courant chez eux et qu’il faut faire attention que la pancarte TAXI soit bien indiquée au-dessus du taxi. Rassurant tout ça.

Anecdotes 4 : Poursuvie par les gardes frontières

Toujours lors de notre voyage en Croatie, nous nous rendions en direction de Dubrovnik. Pour s’y rendre nous sommes obligés de passer par la frontière de la Bosnie. Nous étions surpris de voir que nous devions traverser la frontière pour se rendre dans le sud du pays. Nous continuions alors à rouler tranquillement, jusqu’à arriver aux postes de frontières. Ne voyant aucun garde, ni de barrières fermées nous continuons la route. Puis soudain, je regarde dans le rétroviseur, un garde frontière se met à courir derrière la voiture en nous faisant signe de nous arrêter impérativement. Ni une ni deux, je m’arrête, baisse la fenêtre, il nous demande de couper le moteur et nous fait une bonne leçon de moral! Je lui explique que nous sommes français et que nous n’étions pas au courant qu’il fallait nous arrêter. Celui-ci nous demanda alors nos papiers du véhicule puis nos papiers d’identité. Après le contrôle effectué, il nous laissa partir en nous rappelant de faire attention la prochaine fois ! C’était flippant sur le coup mais tellement amusant.

Anecdote 5 : L'hotel fantôme

La meilleure anecdote que je retiendrai de cet article.

C’était en mars 2017, lors de notre voyage à Rome. Nous devions décoller en début d’après-midi, c’était un jour de grève de certains pilotes d’avion, dont le notre bien évidement. Une hôtesse nous annonçait 2 heures de retard, puis 3h puis 4 au fur et à mesure du temps. Pour patienter, la compagnie nous avait offert à manger dans le restaurant de l’aéroport.

Arrivés à 22h00 nous décollions enfin. La réception et l’arrivée la plus tardive de notre hôtel se terminait à 00h00 autant dire qu’il était donc impossible d’arriver avant cette heure-ci. J’ai donc appelé Booking pour qu’il prévienne notre hôte que nous ne dormirons pas dans son établissement ce soir là. Puis, par la même occasion qu’ils me trouvent un autre hôtel où il n y a pas d’heures d’arrivée à respecter. Booking réussit à me trouver un hôtel mais à 15 km de l’aéroport.

Minuit passé quand nous arrivions à Rome, nous décidions de prendre un taxi pour aller à l’hôtel. J’avais donc donné l’adresse au chauffeur de taxi, ni une ni deux il nous déposait devant l’hôtel. Il nous donna les bagages, sauf qu’une fois le taxi parti je me suis aperçu qu’il nous avait déposé au mauvais endroit, au mauvais hôtel, perdu dans une campagne où nous n’avions plus de batterie.. Nous v’là bien ! On fait comment ? Et bien tant pis, puisqu’on est devant un hôtel autant prendre celui-ci non ? Et bien non, la réception était fermée, il était donc impossible de réserver une chambre ..

Une autre solution ? Dormir à la belle étoile ? Sachant qu’il faisait à peine 10 degré la nuit et qu’on avait ni plaid, ni couverture mais une pauvre veste et un foulard pour se couvrir ? I-M-P-O-S-S-I-B-L-E.

Il ne nous restait qu’une solution, retourner à l’aéroport à pied. Nous marchions, marchions, marchions .. Puis on tombe nez à nez avec une autoroute sur un pont. On fait comment là ? Il était 2h00 du matin.

La suite de l’histoire, n’est pas à faire je vous le déconseille , d’un point de vue sécurité c’est zéro pointé !

Nous décidions de traverser l’autoroute en courant pour se retrouver de l’autre côté des barrières de sécurité, pour marcher … Avec les bagages à la main, sinon ça serait pas drôle tient ! A tout moment une voiture pouvait nous faucher. Heureusement qu’il n’y avait que très peu de voitures. Nous avions marché comme cela pendant deux heures, bagages à la main, coincés entre les barrières de sécurité et les rembardes du pont, avec 10 degrés dans l’air. C’était … FOU !

Pour rappel, nous n’avions plus de batterie donc aucun GPS, heureusement que Thibault à un bon sens d’orientation et une bonne mémoire visuelle.

Il était 4h00 quand nous sommes arrivés à l’aéroport, le premier bus n’était que vers 6h00 il me semble je ne m’en rappelle plus trop. Il fallait donc patienter dans l’aéroport sachant qu’on n’avait pas dormi depuis 24h00…

En y repensant aujourd’hui, je ne sais pas ce qu’il nous est passé par la tête, nous étions complètement inconscient ouais ! Mais pas 36 solutions. On en rigole maintenant.

Anecdote 6 : Accrochage en Espagne

C’était au moment du retour, moi et mes amis nous étions prêts à partir pour retourner en France. Nous avions pris lors du séjour une voiture appartenant à l’un d’entre nous. Lors du séjour, nous roulions la voiture chacun notre tour. Arrivé au tour de Kevin, un de mes amis, de conduire la voiture. C’était sans compter le fait que la belle moto du propriétaire était garée non loin de notre voiture. Kevin démarre, commence à avancer sans pour autant voir la moto, et bing ! Il rentre dedans … L’air affolé, nous descendions de la voiture. Heureusement ni la moto, ni la voiture n’avait eu de « poc ». Il en était moins une.

Anecdote 7 : Coincé à l'embarcadère de Londres Gatwick

C’était lors de notre voyage en Sardaigne avec notre couple d’amis, nous avions une escale à Londres. L’aéroport de Gatwick, ou l’aéroport le plus sécuritaire de tous les aéroports que nous avions pû faire.

Arrivés à la zone de fouillage, et des tapis roulant où l’on pose nos valises. Une hôtesse nous avait donné une pauvre petit pochette où nous n’avions le droit de ne mettre que 3 produits de beauté de moins de 100 mL, entretiens par personnes. Mais on fait comment quand on a apporté gel douche, shampoing, crème pour le corps, crème solaire, dentifrice ?

C’était Julie et moi qui avions les liquides dans le sac, les gars eux avait déjà filé sans se soucier qu’on ne pouvait pas passer. Nous avions donc été obligé de jeter certains produits. Nous avions fait des choix. Gel douche, shampoing et dentifrice pour ma part, et crème solaire, produits de beauté pour Julie. Le reste à la poubelle, j’étais dégoutée ! Si j’avais su ..

A la tête des gars quand on leur a dit que certains produits étaient à la poubelle, notamment leur crème de rasage, leurs gels…

Anecdote 8 : On joue les Robinson Crusoé

Toujours lors de notre voyage en Sardaigne, sous une chaleur battante, Julie s’était mise à saigner du nez. Personne n’avait de mouchoir sur soi. Ce n’était pas un petit saignement tient donc.

Nous étions entourés d’arbre. Julie prend donc une feuille d’arbre pour « boucher » son nez et arrêter les saignements. Nous étions tous écroulés de rire, de voir Julie avec une feuille dans le pif ! Au fur et à mesure de la balade, nous tombons alors sur des Français. Le hasard faisait qu’ils habitaient pas très loin de Nantes, coïncidence non ?